Jeudi départ
en train pour Nice (Antibes pour être plus précis). Ma femme et mes enfants me rejoindrons samedi matin en
voiture (et avec mon vélo dans le coffre !.
Je
souhaitais arriver quelques jours en avance, de manière à pouvoir prendre le
temps, vendredi matin, d'aller chercher mon dossard, d'apprécier le village
expo, préparer mes sacs de transitions tranquillement, et faire la sieste !!
Et une fois
n'est pas coutume………………c'est jour de grève à la SNCF !
Après avoir
il y a quelques années passées 23 heures dans le train bloqué et une autre fois
18 heures, je me dis que l'histoire se répète !
Mon train
est annoncé avec un retard de 20 minutes, puis de 40 minutes, ce qui me fera rater
la correspondance à Marseille.
Je demande
conseille à un agent SNCF qui m'affirme que je raterai la correspondance, et
que je passerai sans doute la nuit dans la gare de Marseille. La meilleure
solution est alors de rester à Nîmes et de reporter le départ.
Faire Nîmes –
Nice en train n'est pas si simple que ca, et surtout des trains il n'y en a pas
5 par jours !
Le lendemain
pas de train me permettant d'arrivé avant la fin d'après midi.
A ce moment
là je suis bien démoraliser. Oui je sais, ça parait disproportionné, mais
j'avais tellement tout caller dans l'organisation et j'étais tellement fixer
sur la course que ce grain de sable m'a cassé le morale, et limite, je ne
voulais plus y aller.
Je décide de
tenter ma chance et je monte dans ce train.
Dans le
train, je demande au contrôleur si j'avais des chances d'avoir la
correspondance, il fait triste mine.
En arrivant
à Marseille, surprise, le train de correspondance nous avait attendus.J'arriverai finalement à Antibes vers 22h40
Bref, je me
suis mis le stresse (mais quand même un
gros stresse) pour rien…
La suite plus tard!